je pars du noir qui découpe le vêtement de la lumière claire
jusqu’aux angles de tes bras qui se tiennent et t’entourent
et cachent dans l’ombre noire tes cheveux qui dessinent
le sable ocre doux d’un visage d’une statue ancienne
Brillant/mat éclairant ta figure
d’un montage à deux têtes qui pointe l’éternel
saisissant dans l’infime ce qui fait de toi-même
une image entière
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